L’ère du numérique

La technologie avance dans tous les domaines et aussi dans le milieu funéraire.

Plusieurs témoignages et sondages ont démontré que le numérique dans le milieu funéraire n’est pas aussi tabou qu’on le pense. Il s’installe progressivement, et notamment avec les réseaux sociaux (Facebook), mais les avis restent encore partagés (50/50).

De moins en moins de personnes vont se recueillir sur les tombes et l’on voit beaucoup fleurir des hommages sur internet. Des pages web sont créées, des forums pour partager les sentiments, par le biais de messages, et apporter le soutien aux personnes en deuil.

Les générations de maintenant sont de plus en plus éparpillées en France ou dans le monde, cela permet, grâce à internet, de se rapprocher au mieux des familles endeuillées. Paradoxalement, les personnes aiment se recueillir sur les réseaux, mais souhaitent que les données mises sur internet soient supprimées par contre elles éprouvent quand même le besoin de se rendre aussi au cimetière.

N’oublions pas aussi la montée du numérique dans la presse qui propose aussi des services, notamment des pages où les personne peuvent se recueillir, faire des dons, déposer des fleurs et donner des conseils.

On peut aussi trouver des sites indépendants en collaboration avec les Pompes Funèbres notamment ENAOS pour avoir aussi un espace personnel qui permet aussi la transition entre l’endeuillé et le conseiller funéraire. Ces sites peuvent aussi proposer une aide de démarche après obsèques.

Le numérique touche aussi le monde de la marbrerie notamment avec les tombes personnalisables.

L’entrée du QR code sur les tombes, ce petit code barre utilisable avec le téléphone et qui permet d’être redirigé vers un mini-site avec les souvenirs du défunt notamment des textes, des photos, des musiques qui vont permettre de se rapprocher de la personne disparue et perpétrer sa mémoire.

On va aussi trouver des applications qui permettent de patienter, le temps de la pose d’un monument parfois longue pour une famille, également le manque de fonds, ou bien la pose d’un monument avec photo qui se rajoutera plus tard.

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